« Cash is cash and cash is King” disait Jack WELCH, PDG de GENERAL ELECTRIC.
Plus que jamais, cette affirmation est d’actualité dans un contexte économique incertain et volatile dans lequel l’accès aux liquidités est synonyme de survie ou de capacité à saisir les opportunités de croissance et de développement.
En effet, une situation de cash bien gérée et bien anticipée permet, au-delà de fournir une visibilité sur ses flux et ses stocks, de minimiser les charges et les risques inhérents à la trésorerie :
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- Optimiser ses lignes de crédit et donc minimiser les intérêts,
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- Générer des revenus financiers par le placement des liquidités excédentaires ;
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- Minimiser les frais bancaires avec un impact direct sur l’EBITDA ;
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- Éviter les risques de change ;
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- Éviter les fraudes ;
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- Anticiper des projets d’investissement.
De nombreux outils existent pour mieux gérer sa trésorerie mais le niveau de technicité requis nécessite pour les entreprises de développer leurs compétences et de s’appuyer sur des personnels aguerris formés tant sur les process que sur les outils.
Les TMS (Treasury Management Systems) actuels tels que KYRIBA, COBASE ou FIS permettent de fournir des prévisions précises, consolidées, sur des entités et avec des devises multiples, auprès de plusieurs établissements financiers, et d’assurer au travers de scenarii une gestion des risques optimisée.
Cependant, au-delà des outils, la maîtrise de l’ensemble des dimensions de la gestion de trésorerie et de l’optimisation du BFR nécessite des personnes ayant une solide technicité comptable, financière et juridique, mais aussi un vrai sens du business :
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- Le Cash-pooling nécessite une structuration juridique intragroupe souvent multinationale avec des conséquences fiscales, temporelles et de conformité à anticiper pour assurer le bon équilibre entre optimisation globale et besoins locaux,
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- La gestion des risques requiert une stratégie de couverture de change, une connaissance des produits dérivés, un arbitrage des placements financiers entre rendement et liquidité et de maitriser la comptabilité associée (hedge accounting, IFRS, Documentation) ;
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- La mise en place d’un reporting pertinent nécessite une bonne compréhension des opérations et du business pour modéliser la saisonnalité, les impacts géopolitiques et économiques sur les délais clients/fournisseurs, les besoins de CAPEX… ;
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- La gestion des fraudes nécessite des outils de détection, des systèmes d’alerte et une sensibilisation accrue des personnels, adaptés aux nouveaux développements technologiques (IA, automatisation… ) ;
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- Les outils de financement du BFR (affacturage, reverse factoring, lignes de crédit, titrisation, lease back…) doivent être évalués au regard de leur coût, de leur flexibilité, de leur impact bilanciel.
La gestion de trésorerie est aujourd’hui un véritable enjeu stratégique et financier pour les entreprises qui doivent construire des équipes spécialisées s’appuyant sur des indicateurs de performance de plus en plus fins et capables d’embarquer l’ensemble des parties prenantes autour d’un objectif commun (harmonisation des KPI, alignement des incentives, partage régulier d’information)
Afin de construire rapidement ces équipes, MAESTRIUM met à votre disposition des managers expérimentés et opérationnels pour répondre à court terme à l’ensemble de vos enjeux de trésorerie :
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- Optimiser votre Besoin en Fonds de Roulement et sécuriser votre trésorerie,
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- Refondre vos processus Order to Cash et Purchase to Pay ;
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- Lancer une opération coup de poing sur le recouvrement de vos créances ou la renégociation de dettes ;
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- Choisir et déployer un outil de cash-pooling ou de TMS.
Marc FREY,
Associé MAESTRIUM